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Le jeu des possibles : Essai sur la diversite du vivant by François Jacob

By François Jacob

" l. a. biologie moderne fait renaître de vieux cauchemars. Elle a un parfum de savoir défendu. Elle réveille de vieux mythes. Elle dérange. Particulièrement scandaleuse apparaît los angeles preuve qu'on peut facilement jouer avec l. a. substance qui est à l. a. base de toute vie sur cette planète. Spécialement impardonnable l'idée qu'il faut bien considérer l'évènement le plus extraordinaire de ce monde, l. a. formation d'un être humain à partir d'un oeuf, comme le résultat d'un bricolage cosmique. Plus un domaine scientifique touche aux affaires humaines, plus il risque de se trouver en conflit avec les traditions et les croyances. los angeles diversité des individus qu'engendre los angeles replica sexuelle est rarement prise pour ce qu'elle est: l'un des principaux moteurs de l'évolution, un phénomène naturel sans lequel nous ne serions pas là. Par une singulière équivoque, on cherche à confondre identité, notion biologique, et égalité, thought social. Comme si l'égalité n'avait pas été inventée précisément parce que les êtres humains ne sont pas identiques ".

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Plus proche de nous, le mot gouvernance s’utilisait au XIIIe siècle dans le sens de gouvernement. On retrouve le terme au XVe et XVIe, dans le canton de Berne, puis il semble disparaître. Il est intéressant de signaler que le même terme kybernan est aussi à l’origine du mot cybernétique, c'est-à-dire la science au croisement des communications. D’après A. Pagden (1998)1, le principe de gouvernance est implicitement évoqué chez Kant (Vers la paix perpétuelle, 1795). Plus près de nous, et plus proche de nos entreprises, la notion de gouvernance est de nouveau mise en valeur en 1937, dans un article rédigé par Ronald Coase : « The Nature of the firm ».

La réponse est dans la façon dont les entreprises articulent les ressources technologiques aux ressources complémentaires 1. Nous reprenons ici par extension le concept d’actif complémentaire développé par David Teece (1987) pour caractériser les ressources complémentaires nécessaires à la valorisation d’un investissement en R&D : par exemple un réseau de distribution, une capacité de production. Ce concept s’applique parfaitement, par extension, au TI, même si, ce concept n’a pas fait l’objet d’un usage extensif dans la littérature SI, à ce jour.

Comme l’a indiqué Raymond (2002, p. 315), « pour ainsi arriver à véritablement comprendre l’impact des systèmes d’information sur la performance et à transférer de nouvelles connaissances aux entreprises, le chercheur ne pourra faire autrement que fonder son cadre de recherche sur une approche systémique qui intègre les SI et les TI aux autres déterminants actuels et potentiels de la performance et les confronte aux enjeux stratégiques créés par le nouvel environnement d’affaires ». C’est dire l’étendue de la tâche et sa complexité.

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